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 Le vieux Pearl Jam

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Synyster Gates
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Synyster Gates


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MessageSujet: Le vieux Pearl Jam   Le vieux Pearl Jam Icon_minitimeMer 30 Juil - 14:18

Pearl Jam est un groupe de grunge américain qui fut l'un des plus populaires des années 1990. Il est originaire de Seattle (États-Unis), berceau de ce style musical. En 2005, les lecteurs du USA Today ont élu Pearl Jam « Greatest American rock band ever ». Leurs performances scéniques sont d'une telle énergie que de nombreuses personnes les considèrent comme les seules rockstars à jouer chaque concert comme s'il s'agissait de leur dernier. Le quintet de Seattle se fait aussi remarquer de par son engagement politique anti-Bush et humanitaire.

Rien qu'aux États-Unis, le groupe a vendu plus de 30 millions d'albums

Formation actuelle
Eddie Vedder : chant, guitare rythmique, ukulélé, harmonica
Mike McCready : guitare solo
Stone Gossard : guitare rythmique
Jeff Ament : guitare basse
Matt Cameron : batterie
Le groupe a changé plusieurs fois de batteur. Les batteurs qui se sont succédé dans l'ordre chronologique sont :

Dave Krusen (1990–1991)
Matt Chamberlain (1991)
Dave Abbruzzese (1991–1994)
Jack Irons (1994–1998)
Matt Cameron, ancien batteur de Soundgarden (autre groupe de grunge originaire de Seattle) a rejoint Pearl Jam depuis la tournée Yield (1998). Il est aussi chanteur et batteur au sein d'un groupe parallèle : Wellwater Conspiracy. Matt Cameron joue aussi de la guitare et de la basse.

Depuis l'album Riot Act et la tournée 2003, Kenneth "Boom" Gaspard, sans être membre officiel, joue du clavier et de l'orgue B3 sur certains morceaux et participe ainsi à l'évolution musicale du groupe.

Sur la chanson Smile de l'album No Code, même lorsqu'elle est jouée en concert, Stone Gossard est à la guitare basse et Jeff Ament à la guitare rythmique.

Chacun des membres du groupe écrit des paroles et des lignes mélodiques.

Historique
Les débuts
Nous sommes en 1990. Le guitariste Stone Gossard et le bassiste Jeff Ament ont été pour la première fois réunis au sein du groupe Green River, avec Mark Arm et Steve Turner. Après la séparation du groupe, les deux derniers formèrent le groupe Mudhoney, tandis que Gossard et Ament rejoignirent Andrew Wood pour former le groupe Lords of Wasteland, plus tard renommé Mother Love Bone, avec Greg Gilmore et Bruce Fairwaither.

Le groupe se sépare avec la mort de son chanteur, Andrew Wood, qui succombe à une overdose la veille de la sortie de leur premier album, "Apple". Son ami Chris Cornell, chanteur du groupe Soundgarden enregistra un album à sa mémoire. Sur cet album, qui prit le nom de Temple of the Dog (d'après les paroles d'une chanson d'Andrew Wood), étaient réunis Gossard, Ament, McCready et Cameron, à l'époque, batteur du groupe Soundgarden. Sur le titre Hunger Strike, Eddie Vedder accompagne Chris Cornell au chant.

Par ailleurs, Gossard commence à travailler seul et à emmagasiner quelques compos dans une cassette intitulée Stone Gossard demos 1991, incluant trois instrumentaux. Gossard rencontre vite Mike McCready, un guitariste soliste depuis peu sans groupe. Ament les rejoint peu de temps après. Les trois musiciens réalisent très vite qu’ils tiennent quelque chose de valable.

Le groupe n’ayant toujours pas trouvé de nom ni de chanteur, Gossard commence à distribuer ses démos à ses amis en espérant qu’elles finiront entre de bonnes mains. L’un de ces amis, l’ex-Red Hot Chili Peppers Jack Irons, confie la cassette à l’une de ses connaissances, Eddie Vedder. Ce dernier habite San Diego, travaille la nuit dans une station service et passe son temps à écrire et interpréter des chansons avec un groupe nommé Bad Radio. C’est un chanteur timide, apparaissant quelque fois avec un masque pour ne pas avoir à regarder la foule. Vedder écoute les cassettes de Gossard et apprécie tout de suite. Il écrit alors les paroles des trois instrumentaux, dont « Dollar short », rebaptisée « Alive » sur Ten, le premier album, et les chante sur cassette. Les deux autres sont "Once" et "Footsteps". Cette dernière chanson ne figure pas sur "Ten" mais on peut la trouver sur la compilation "Lost Dogs". Ament et Gossard sont tout de suite emballés. Ils organisent une session sur Seattle et deux semaines après, Vedder arrive sur place. Le groupe écrit et s’enregistre pendant cinq jours, et se produit en concert le sixième. Vedder est ensuite invité à participer au projet nommé Temple of the Dog mis en place par Chris Cornell, le chanteur de Soundgarden (on retrouve Temple of the Dog sur la BO du premier Wayne’s World). Cornell a écrit quelques chansons inspirées par Andrew Wood, qui était son ami et colocataire, et a décidé de les enregistrer sous forme de Tribute.

Une fois le projet "Temple of the Dog" terminé, Vedder, McCready, Gossard et Ament, accompagnés du nouveau batteur Dave Krusen, décident de se nommer Mookie Blaylock, du nom de leur basketteur favori. Peu après, le groupe signe chez Epic et commence à travailler sur le premier album. Pour des raisons de copyright, le groupe se rebaptise Pearl Jam. Pourquoi Pearl Jam ? Cette idée vient de Vedder, qui l'a longtemps expliqué ainsi : Pearl, sa grand-mère, était mariée avec un amérindien grand amateur de plantes hallucinogènes en tous genres. Avec ces plantes, Pearl faisait des confitures appréciées de tous et en particulier des membres du groupe : Pearl Jam, la confiote de Pearl. On sait maintenant, et Vedder ne le nie pas, que toute cette histoire a été inventée pour se moquer des journalistes crédules qui croyaient avoir trouvé une bonne accroche pour leur reportage. Depuis Ament et McCready ont raconté dans Rolling Stone que Pearl était le nom de l'arrière grand-mère de Vedder et qu'il a été proposé lors d'un brainstorming dans un restaurant lorsque le groupe voulait changer de nom. Le "Jam" serait venu plus tard après avoir assisté à un concert de Neil Young. Ament dit : "Neil Young joua quelque neuf chansons en trois heures. Chacune était un "jam" de quinze ou vingt minutes… C'est comme ça que 'Jam' a été ajouté au nom. Du moins c'est comme ça que je m'en souviens." Il semble que lors de leur brainstorming ils auraient également trouvé "Pearl". "Pearl" viendrait de "perle" : un coquillage peut produire ce qu'il y a de plus beau à partir de déchets... comme eux...

Ten
Ten, intitulé ainsi à cause du numéro du maillot du joueur de basket américain Mookie Blaylock, sort en 1991 et commence une lente montée dans les charts. Une fois le top 10 atteint, l’album va y rester quelques mois. Les paroles de Vedder sont appréciées par beaucoup grâce à la façon dont il dépeint la solitude et la confusion de l’enfance, spécialement dans « Jeremy », où il parle de l’abus émotionnel et physique. Le clip de la chanson remporte un MTV Music Award. Vedder refuse de son côté d’avouer que ses paroles ne parlent de personne d’autre que lui. « Je ne suis pas assez bon parolier pour venir avec un message et tenter de le glisser dans une chanson ». Mais tout le monde n’apprécie pas Ten. Avec les énormes ventes de l’album (9 millions aux É.-U.) apparaissent des rumeurs que Pearl Jam surfe simplement sur la vague grunge provoquée par Nirvana. Kurt Cobain, traite Pearl Jam de « bande de carriéristes » et explique qu’ils ne sont qu’un groupe de rock conventionnel habillé en grunge. Malgré cela, personne ne peut douter du fait que Pearl Jam est un groupe dégageant une puissance scénique remarquable. Spin décrit une de leur performance par « une expérience tellement intense que même les sceptiques ressortent de là avec une nouvelle énergie émotionnelle que le groupe leur communique ».

Pearl Jam débute ensuite une tournée de 18 mois pour promouvoir l’album, et vers la fin 1992, semble être partout. En particulier, le film "Singles" de Cameron Crowe, tourné avant que l'attention du monde entier ne se tourne vers Seattle, et où les membres de Pearl Jam apparaissent rapidement, contribue encore à rendre leur image omniprésente. Ils enregistrent de plus un MTV Unplugged. C’est à ce moment que Kurt Cobain propose une trêve entre lui et Vedder en expliquant simplement : «je ne le referais plus. Cela fait du mal à Eddie et c’est quelqu’un de bien.»

Vs.
Vs. sort en tête des ventes en octobre 1993 et se vend à 350 000 exemplaires le jour de sa sortie. Cette fois, les critiques sont unanimes. L’album, sur lequel figure le nouveau batteur Dave Abbruzzese (Krusen est parti peu après la sortie de Ten) est marqué par des influences larges allant de Police et R.E.M. aux Rolling Stones et aux Beatles. Des chansons telles que « Daughter » et « Elderly woman behind the counter in a small town » prouvent que le groupe gagne en maturité.

En 1994, deux évènements vont changer dramatiquement l’orientation du groupe. Le premier est le suicide de Kurt Cobain. Dans sa lettre d’adieu, il écrit une phrase tirée d’une chanson de Neil Young, « My, my, hey hey (out of the blue) » : « It’s better to burn out than fade away ». Vedder détruit sa chambre d’hôtel en apprenant la mort de Cobain. Une semaine plus tard, lors d’une apparition de Pearl Jam à « Saturday night live », le chanteur reprend la chanson de Neil Young, mais seulement le refrain suivant : « Hey hey, my my / Rock n’roll can never die / there’s more to the picture than meets the eye ». La tournée devant avoir lieu l’été suivant est annulée en partie à cause de ce suicide. L’autre raison est la bataille menée contre Ticketmaster, la plus grosse société américaine de vente de billet, qui vend les places de concert à des prix trop élevés aux yeux du groupe.

Vitalogy
Vitalogy sort en novembre 1994 et voit le remplacement d’Abbruzzese par Jack Irons, un vieil ami du groupe. Vitalogy était un livre publié au XIXe siècle et donnant des leçons sur tout et n’importe quoi (avec qui se marier, pourquoi la masturbation est condamnable, etc.). l’album reprend le concept du bouquin et en présente quelques extraits dans sa pochette. D’un point de vue musical, Vitalogy a plusieurs facettes : de « Last exit » largement inspirée du suicide de Cobain et « Better man » qui parle d’une femme résignée à gâcher sa vie auprès d’un mari indifférent, à « Bugs », qui ne veut rien dire (!) et « Spin the black circle » qui raconte une histoire d’amour avec le disque vinyle, l’album est bâti sur le modèle du livre, une espèce de fourre-tout sans thème global mais consultable suivant son état d’esprit. La tournée est en partie annulée à cause d’un sandwich au thon avarié ingurgité par Vedder, puis reprend quelque temps après. Lors des quatre dernières dates de la tournée, les concerts sont diffusés par la radio pirate de Pearl Jam, « Monkeywrench radio », qui émet à quelques kilomètres seulement des lieux de concert.
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